Qu’est ce que nos proches nous laisse quand ils nous quittent?
Certains laissent une maison certains des livres d’autres des peintures ou des signatures visible dans les édifices, kheops à laissé pour l’éternité une pyramide qui réunit toutes les connaissances et le savoir des égyptiens, la chair sans âme est inerte et elle doit retourner dans la nature, l’esprit et la mémoire continue.
La pyramide était un chemin pour l’âme du roi afin qu’elles partent dans les cieux et l’au-delà, plus la pyramide et est grande plus le roi pouvait partir loin retrouver sa place méritée, c’est pour cette raison que les tunnels devait parfaitement être aligné avec les étoiles, ce n’était pas un caprice du roi mais une croyance, la signification de cette architecture interne c’est le « Jed » la résurrection, l’ordre, la paix le Jed et noon ont façonné la race humaine et l’univers.
Toutes les pyramides sont construites à l’ouest du Nil, une autre preuve de ses croyances religieuses égyptienne. La pyramide est bien un cénotaphe pour l’âme un monument spirituel où le mètre la constante royal le pi le nombre d’or la chimie le temps les mathématiques l’astronomie sont inscrits, un souvenir pour les générations à venir.
Remontons quelques années en arrière encore un peu plus loin quand les égyptiens s’installèrent sur les bords du Nil, bien avant il découvre la numérotation ils partent du simple principe de 1 à 10 en comptant les doigts de la main, ensuite il compte les doigts des pieds +10 et ainsi s’approprie la numérotation 10 par 10 par dix c’est le même système que l’on utilise de nos jours, après le langage la numérotation est la deuxième chose que l’humanité a apprise bien avant l’écriture, la numérotation par dix et pour les humains la première porte d’entrée de la compréhension scientifique de l’environnement c’est une sorte de pont entre le primitif et l’intelligence, les égyptiens observe que l’année est faite de 365 jours +1 il la découpe en trois saisons de quatre mois, donc douze mois les saisons s’appelait, inondations, germination et récolte.
Au fil des années ils observaient un phénomène étrange, chaque année en été durant une journée précise le 14 juillet, une étoile la plus brillante se lever avec le soleil et quelques minutes plus tard elle disparaissait dans la lumière, le même jour le Nil inondait les champs, les crues étaient fertile indispensable à la vie pour produire la nourriture.
Observée mesurer et tout noté dès le retour du Nil dans son lit un gros problème avait surgi les limitations deschamps avait disparu il fallait alors retracé les limites des champs de chaque paysan et commencer à semer au plus vite et il fallait les retracer correctement pour éviter les disputes, ainsi les égyptiens commencèrent à tracer des lignes droites des rectangles des carés et des diagonales, des cercles et des triangles, avec des fils et des bâtons tout était notée sur du papier russe ce fut le début de la géométrie, ils comprirent un fonctionnement fondamentale de la nature tout est fractionné ou assemblés en petites unités et galles, cette constatation va leur servir tout au long de leur découverte, il leur fallait aussi une unité de mesure pour bien délimiter les parcelles.
C’est bien de faire de la géométrie, mais il faut mesurer les lignes, il pensent au pied du Roi, la longueur du pied du roi peut être utilisé comme étalon, cet étalon sera multipliée et distribué dans tout le royaume, il essaya les pieds les bras les jambes les coudes du roi mais il y avait un problème cette unité n’était pas fixe le problème était réglé pendant son règne mais tous les rois n’avait pas la même taille, le Roi suivant voudraient sûrement qu’on utilise son pied ou son coude par jalousie, dans les collines en attendant le recul du Nil les égyptiens réfléchissait et chercher une solution au problème, il fallait que cette unité de mesure est une longueur fixe dans le temps, si possible qu’elle ne change jamais.
Ils observèrent la taille de différents végétaux celle des fruits, des graines, tout objet y passa mais tous ces objets n’avaient pas de taille fixe par exemple si on arrosait bien une graine, l’année suivante sa taille change, et sur des longues distances la différence devenait vite importante, tout d’un coup ils ont eu l’idée de mesurer l’eau, oui l’eau douce du Nil, il mesureaire une goutte et ensuite une autre, elle avait toute la même taille du bas Nil jusqu’au haut Nil les gouttes avait la même taille, ils remarquèrent que la taille de la goutte d’eau ne changeait pas année après année, c’est génial les égyptiens ont trouvé l’unité unique, le diamètre de la goutte d’eau sur une surface imperméable comme du granite ou de l’alabastre est constant, il mesure un centimètre.
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Analyse probabiliste de la Coudée Royale Égyptienne
3 Commentaires
Bonjour
Je suis tombé par hasard sur votre article et la vidéo associée. Cela m’a étonné et j’ai trouvé le documentaire simpliste, ce qui m’a poussé à faire des recherches sur le sujet.
Bonne continuation
Désolé de vous décevoir mais dans votre vidéo, tout est faux.
1. Une goutte n’est pas une mesure fixe. Faites le test vous même. Sa surface sur marbre ou sur autre chose va dépendre de la température et de le pression, des ions contenus dans l’eau, de pointe utilisée et de la manière de la déposer. La largeur peut être de 2 mm si vous le faites avec attention.
2. Le mètre n’est absolument pas une invention. C’est juste une convention. On aurait pu tout aussi bien s’aligner sur le ‘pieds’ des anglais ou la coudée de Nippur (Sumer) ou n’importe quelle longueur pourvu qu’il existe une référence stable.
3. l’Egypte n’a jamais été noire. Comme l’ont démontré les analyses d’ADN de 90 momies, les égyptiens étaient de race blanche aux cheveux noirs et ils étaient beaucoup plus proches des européens que les égyptiens de notre siecle. (Revue Nature du 20/4/2017). Si dans les premiers siecles, les nubiens étaient leurs agresseurs et leurs ennemis, peu à peu ils apprirent des égyptiens et s’allignèrent sur leur culte et leurs manières si bien qu’après des siceles, ils construisirent eux aussi des pyramides. Il est donc possible qu’aie éxisté des rois nubiens de culture egyptienne. Mais si la fin de la civilisation égyptienne est connue, comment expliquer la régression des nubiens et l’oubli quasi total de l’écriture, du calcul et de toute technique.
4. Les égyptiens n’utilisaient absolument pas le metre mais la coudée égyptienne qui est représentée de nombreuses fois dans les vestiges de l’épopque alors qu’aucune autre mesure de longueur n’est représentée. De plus, toutes les mesures enregistrées dans les écrits sont fournies en coudées.
D’abord, l’article sur le « mètre égyptien » ressemble à une traduction par une IA préhistorique. Bref, incompréhensible.
Ensuite, le diamètre de la goutte d’eau n’est pas constant, il dépend de nombreux paramètres, à commencer par la qualité de surface du support sur lequel tombe la goutte.
Enfin, partir d’une définition par l’unité la plus petite, c’est multiplier l’erreur quand on utilise les unités supérieures. Une erreur légère sur le diamètre mesuré à 1cm, est multipliée par 100 pour le mètre…