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Le gisement envisagé fait apparaître des parties dites «stériles», composées de roches dégradées, ou composées en forte proportion d’argile ou de limons, impropres à leurs destinations.
Sur la partie superficielle, les parties stériles sont éliminées aux moyens de matériels de terrassements, c’est la découverte.
Dans le gisement, les «poches» seront éliminées à la pelle mécanique. Les matériaux issus de ces opérations seront mis en dépôt, en vue de la remise en état future du site.
Lorsque le gisement est constitué de zones à caractéristiques mécaniques ou visuelles différentes, une première homogénéisation est effectuée, en disposant les moyens d’extraction sur les différentes parties du gisement.
Pour les gisements les plus tendres, l’extraction se fait simplement par pelle mécanique («décrottage»).
Les gisements de roches dures sont exploités à l’explosif («abattage»).
La roche est forée régulièrement sur une hauteur de 15 m environ. Le préposé au tir (ou «boutefeu») charge les trous d’explosifs dont la quantité varie (60 à 140 g par tonne abattue) en fonction du
type de roche.
La fragmentation des gros blocs ou «abattage» secondaire, utilise le plus souvent la technique du marteau pneumatique type brise-roche. Une ancienne technique dite du «pétardage» reste encore utilisée. Elle consiste à forer un trou dans un bloc au marteau piqueur et à y faire éclater une cartouche de dynamite.
Le chargement au pied du front de taille s’effectue par pelle hydraulique ou chargeuse à pneus. Le transport jusqu’aux installations de criblage est effectué par camions-tombereaux.
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1 Commentaire
C’est édifiant. Merci d’avoir oser